Dans les rues de Londres, la diversité de la population est saisissante. Jaune, noir, blanc et toutes les couleurs intermédiaires s’affichent sur les visages des passants. La foule londonienne faufile le patchwork ethnique de la planète.
Toutes sortes de langues y sont parlées naturellement. C’est à n’y rien comprendre. Et quand c’est l’anglais qu’on utilise pour communiquer, les accents sont à couper au couteau, le vocabulaire informe et les structures grammaticales désossées ; on appelle ça du broken English. Comme me le disait un collègue l’autre jour : l’anglais est la langue la plus mal parlée au monde.
Cependant, si tous les peuples habitent ici, c’est que les différences de tons et de couleurs importent peu. Ce sont des nuances qui n’empêchent pas les gens de s’entendre.
Ceci vous a plu ? Essayez cela :
Bien décrites ces perceptions de la multiplicité. Pour les photos des vilains grimaçant, j’ai découvert aussi ces personnages grotesques dans une église à Cluny, sous la coupole, auxquelles faisait face des têtes d’anges: Dct Jekill et Mister Hyde bien avant l’heure!
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Il y a beaucoup de villains grimaçants dans l’Église du Temple de Londres mais je n’y ai vu aucun ange. Je ne crois pourtant pas que ce soit dû aux difficultés de prononciation.
http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/2010/03/14/17234665.html
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wonderful !
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N’est-il pas?
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