Nombreux sont les proverbes qui font l’éloge de l’activité : Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Travailler, c’est bon pour la santé. Ne pas s’endormir sur ses lauriers… Vous ne trouvez pas ça louche, vous, un tel acharnement proverbial dédié au travail ?
Personnellement, je doute fort que ceux qui inventent de tels dictons soient aussi laborieux qu’ils en ont l’air. D’ailleurs, s’ils croyaient vraiment à ce qu’ils disaient, s’ils étaient fiers de leur invention, ça se saurait. Or, les auteurs de ces proverbes demeurent inconnus. Ils doivent être embarrassés ; ils s’effacent derrière l’énormité qu’ils ont inventée.
Preuve en est ce jour de mars, où il faisait froid dehors et que je n’avais pas le courage de sortir travailler, préférant sans l’avouer la chaleur de ma maison. Avachi dans un fauteuil, je m’exclamai soudain : Le confort tue l’effort ! À peine le proverbe inventé, je disparaissais tout au fond.
Ce texte entre dans le cadre du concours de l’agenda ironique de mars 2016, organisé par 1 patte dans l’encrier.
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Great read thannkyou
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Enfin une histoire reposante!
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La philosophie de fauteuil à toujours cet effet relaxant.
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Comme quoi la vérité dort au fond du fauteuil, (ou du vrai d’ailleurs :D)
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Tu parles avec la sagesse d’un coussin.
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Coussin à la mode de bretagne 😀
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avec un fauteuil à bascule, vous auriez traverser le temps sans effort !
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Trop acrobatique pour moi, j’en ai peur. Merci quand même pour la suggestion.
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Puis-je donc poser mon train – arrière – sur vos genoux, sans risque de déraillement, cher proverbial philosophe ?
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Ne confondons pas fauteuil et gare de tirage.
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Mais ce fauteuil est très philosophe, au fond!
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Tout au fond, oui, c’est vrai. Ça n’en reste pas moins que de la philosophie de fauteuil.
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Avalé par un fauteuil
Quel triste sort !
Faut il envoyer du secours ? L’inspection du travail?
Bonne journée Ericksss
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Merci Valentyne mais je crois que je peux m’en sortir tout seul.
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« Travailler c’est trop dur » dit Zacharie Richard, l’auteur louisianais 🙂
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Voici bien l’exemple d’un proverbe pas trop bête dont l’auteur cette fois est connu.
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On ressent dans cette sereine posture les effluves d’un Moi(s) Sphinx ! Bravo Bodo !
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(Je fais sphinx, là, sur la photo?) Les auteurs ne parviennent pas toujours à se dissimuler derrière leur sujet. Je vois d’ailleurs assez souvent le bout de vos moustaches derrière des articles aussi divers que variés.
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Pour rester dans les mêmes rimes, je m’exclamerai :
La photo, j’adore !!!
Et le texte est fort…
Un texte plus long eut dénoté une certaine addiction au « travail »
et serait venu contredire le propos…
Tout est donc parfait !
Bravo !
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Je n’aurais pas eu le temps d’en dire plus d’ailleurs, le sens des mots m’effaçant au fur et à mesure. Merci pour le bravo qui fait écho au mien sur votre caravane.
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Le fauteuil a-t-il bien digéré ?
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Croyez-moi, il en a vu d’autres, et des plus consistants.
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Tout est bon dans le Bodo, les mots et la photo !
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Merci Francis. C’est parce que je le fais avec plaisir.
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L’art de faire court ! Excellent ! Comme dirait carnet, j’en reste coite.
Et vous n’avez pas peur de vous faire écraser par une autre « sans efforceur » ?
Quel humour !
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Je suis suffisamment inconsistant sur cette photo pour ne craindre de me faire écraser par qui ou quoi que ce soit.
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Super ! Et la photo et la réflexion car on ne le dit pas assez, le travail, ce n’est pas la santé. La preuve ici, CQFD. Dites, le Bodo, vous n’allez pas disparaitre vraiment pour du vrai ?
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En fait, je resté caché, derrière le fauteuil, avec l’œil ouvert.
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Héhé, l’image est bonne, on se sait si vous vous cramponnez au fauteuil ou si vous faites l’effort d’en sortir. Un vrai dilemme.
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Une confortable hésitation qui donne envie d’y rester.
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😀
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