À Central Park, les New-Yorkais font du sport. Dans ce quartier d’espace vert, encaissé entre les gratte-ciel, les citadins s’activent pour garder la forme. Il devait bien y en avoir qui se déplaçaient à pied et pourtant, sur cette sélection de photos, ils sont tous montés sur roulettes.
La roue est une invention formidable : elle remplace les pieds ; on avance rapidement sans trop se fatiguer. Or, à Central Park, tous l’utilisent pour faire du sport. Les gens roulent jusqu’à l’épuisement.
Serait-ce que, dans les grandes villes, on reste en forme plus vite ?
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S’il ne s’agissait que de marcher, ces citadins auraient l’impression de perdre leur temps
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Rouler, c’est tellement mieux.
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Belle composition photographique.
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Merci. Et les photos sont nettes, alors que tous les figurants roulent à pleine vitesse.
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Ouaip ! Quel talent !
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Un talent flou.
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Comme toujours, une petite réflexion bien pertinente à se caser sous les neurones … en marchant.
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La philosophie du marcheur ne mène pas loin mais elle rend la promenade bien agréable.
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Je pense que les citadins sont plus avides de verdure et de sport que les campagnards, peur-être?
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Rien de pire qu’un citoyen avide.
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C’est en courant après le temps que, trop souvent, on le perd — il fuit. On ne perd pas le temps lorsqu’on le laisse couler en flânant.
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Chose très immatérielle que le temps, en effet. Plus on en veut, moins on en a.
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C’est surtout qu’ils ne savent plus « prendre le temps » comme il vient, ils le devancent ! ne dit-on pas que le temps c’est de l’argent ? et comme nous sommes à Manhatan !…
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C’est aussi par peur de le perdre qu’on ne veut pas le laisser filer. Alors, on court après.
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