Ceux qui, avant d’écrire, s’en fument une petite pour se mettre en condition, se leurrent complètement.
La fumée, comme la réflexion, est volatile. On peut la regarder s’élever dans les airs, et lui trouver des formes évocatrices, et déchiffrer ses symboles tortueux… une fois dispersée, il ne reste bien souvent dans l’esprit que l’impression d’avoir laissé échapper ce qu’on voulait saisir.
Chercher des idées dans la fumée est un leurre qui fait écrire des volutes.
Ceci vous a plu ? Essayez cela :
J’ai donc bien fait d’arrêter de fumer il y a 16 ans, j’ai fini par me dire, aussi…
J’aimeJ’aime
Le stylo, comme la cigarette, occupe les mains. Tu le mordilles aussi un peu?
J’aimeJ’aime
Tout comme les vapeurs d’alcool… Joli et astucieux montage photos. J’y penserai la prochaine fois que je passerai devant « les philosophes. »
J’aimeJ’aime
C’est un troquet réputé pour la faune qui le fréquente et les apéritifs qu’on y boit.
J’aimeAimé par 1 personne
Et ce style qui n’appartient qu’à toi ! C’est à braire de rire. 😀
Excellent ! L’âne alphabète est philosophe.
Un peu fumeux tout d’même.
C’est pour ça qu’on l’adore.
J’aimeJ’aime
L´âne te brait ses remerciements. Ça fera 3 carottes.
J’aimeAimé par 1 personne
Je plussoie ! Les photos et cette philosophie de comptoir, la vraie de vraie, est inimitable !
J’aimeAimé par 1 personne
En d’autres termes, j’imite l’âne comme personne. Merci de reconnaître mon talent.
J’aimeAimé par 1 personne
Une belle compagnie devant les philosophes 🙂
J’aimeJ’aime
On s’entretient de choses et d’autres, plaisamment.
J’aimeJ’aime
Comme elles te vont bien ces jolies oreilles !!! 😀
J’aimeJ’aime
Ah, mais je sors juste de chez le coiffeur. C’est pour ça.
J’aimeJ’aime
Ane, c’est étrâne, dit l’âne (J. Prévert………. il fumait)
J’aimeJ’aime
Sacré animal!
J’aimeAimé par 1 personne